À l’occasion d’un brassin homemade, et pour sublimer le résultat, une identité visuelle forte est née autour de la légende des naufrageurs, paganiz et autres pilleurs d’épaves. Ce mythe remonte à 1166 sur les côtes bretonnes, où pour survivre, l’usage du droit de bris était une pratique courante. Les naufrageurs utilisaient une lanterne accrochée à la tête d’une vache ou d’un
âne les soirs de tempêtes pour tromper les capitaines sur la position d’un phare et profitaient du naufrage pour piller les navires. Cette légende fait écho au résultat gustatif souhaité pour ce brassin nommé (Morredenn [courant marin] en breton) : Une tempête houblonnée à en faire chavirer les papilles.